Ciel de la chambre vide
flots de bleu de gris d’airs
plissant le temps de rides
au gré des courants d’air.
Ciel sans nom si profond
que s’y noie la confiance
dont les oiseaux ne font
qu’éroder le silence.
Ciel de nuit sidérale
reflet des maux d’un monde
agonisant qui râle
sous les glaces qui fondent.
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