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Coucou.

Le coucou ne dit plus la complainte des heures
il ne souligne plus l’affectueux silence
ni le tic ni le tac n’épient plus le lecteur
l’ ne défie plus nos élans d’impatience.

Le horloger longtemps se fait attendre
passeront les lilas les jonquilles et les roses
avant que de nouveau le coucou fasse entendre
l’impertinent salut qu’il lance aux heures écloses.

Le coucou ne dit plus la complainte des heures
il ne souligne plus l’affectueux silence
ni le tic ni le tac n’épient plus le lecteur
l’oiseau ne défie plus nos élans d’impatience.

Le printemps horloger longtemps se fait attendre
passeront les lilas les jonquilles et les roses
avant que de nouveau le coucou fasse entendre
l’impertinent salut qu’il lance aux heures écloses.

Posted in Blog, Poèmes
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