De guerre lasse un jour la vie
baisse les bras n’en pouvant plus
quand le chemin bien trop dévie,
quand la marée n’a plus de flux.
De guerre lasse aussi la mort
abandonne aux confins obscurs
celui dont le cœur bat encore
malgré la peine et les blessures.
Alors l’humaine bienveillance
au chevet de l’âme damnée
quelquefois se penche et relance
le carrousel désordonné.
De guerre lasse un jour la vie
baisse les bras n’en pouvant plus
quand le chemin bien trop dévie,
quand la marée n’a plus de flux.
De guerre lasse aussi la mort
abandonne aux confins obscurs
celui dont le cœur bat encore
malgré la peine et les blessures.
Alors l’humaine bienveillance
au chevet de l’âme damnée
quelquefois se penche et relance
le carrousel désordonné.
Dernière mise à jour le 1 semaine par André
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