Demain je pars
je sors de mon cocon commode
j’abandonne ma tour d’ivoire
à la rencontre de l’ exode.
Toucher du doigt
les racines arrachées au sol
les rameaux brisés qu’on envoie
loin de la terre qu’on leur vole.
Juste être là
petite lueur qui peut-être
sur le quai luira pour ceux-là
qui sont condamnés à renaître.
Demain je pars
pour quelques heures
dans quelque gare
vers la douleur.
Demain je pars
je sors de mon cocon commode
j’abandonne ma tour d’ivoire
à la rencontre de l’ exode.
Toucher du doigt
les racines arrachées au sol
les rameaux brisés qu’on envoie
loin de la terre qu’on leur vole.
Juste être là
petite lueur qui peut-être
sur le quai luira pour ceux-là
qui sont condamnés à renaître.
Demain je pars
pour quelques heures
dans quelque gare
vers la douleur.
Dernière mise à jour le 1 semaine par André
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