Vieux murs moussus
dont l’ocre rose
au flanc feuillu
du mont repose.
Si doux, le chant
de l’eau qui tombe
endort le temps
au fond des combes.
La cloche tinte
sous la nue grise
qu’on dirait peinte
au ciel qu’irise
quelque lueur.
Le ruisseau chante
mélancolique
un air qui hante,
chanson magique,
le promeneur.
C’est au printemps
que, sous la pluie,
passe en rêvant
un long ennui.
Vieux murs moussus
dont l’ocre rose
au flanc feuillu
du mont repose.
Si doux, le chant
de l’eau qui tombe
endort le temps
au fond des combes.
La cloche tinte
sous la nue grise
qu’on dirait peinte
au ciel qu’irise
quelque lueur.
Le ruisseau chante
mélancolique
un air qui hante,
chanson magique,
le promeneur.
C’est au printemps
que, sous la pluie,
passe en rêvant
un long ennui.
Dernière mise à jour le 9 mois par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
Superbe vraiment!
Merci !
Bonjouuuur
Superbe…
Merci Barbara.