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Éric.

Prisonnier du je vogue
vaguement du temps
marron perdu dans sa bogue
attentif à contretemps.

Puis Éric chante et le temps
ralentit prend les couleurs
de ses soixante printemps
sur son visage un .

Et quelques couples dansent
dans les pieds des criquets
dans les hanches une chance
en battant le parquet.

Prisonnier du bruit je vogue
vaguement absent du temps
marron perdu dans sa bogue
attentif à contretemps.

Puis Éric chante et le temps
ralentit prend les couleurs
de ses soixante printemps
sur son visage un bonheur.

Et quelques couples dansent
dans les pieds des criquets
dans les hanches une chance
en battant le parquet.

Dernière mise à jour le 4 jours par André

Posted in Blog, Poèmes
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