L’encre, sous la plume,
tente
de peindre des brumes
lentes
pour ensevelir
de gris
ce noir avenir,
ces cris
venus de confins
lointains,
annonçant la fin.
L’encre, sur la plume,
sèche.
Sous son vieux costume
rêche,
l’espoir posthume
pèche
par omission.
Dernière mise à jour le 4 semaines par André
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Oui, je pensais Syrie, Congo,… mais ce virus ? peut il cache autre chose que nous ne savons et ne saurons jamais.
on ne peut que penser à la triste actualité aux portes de l’Europe
et au virus de la peur et de la haine qui ne cesse de s’étendre
exactement