La houle sans hâte du temps
tangue sous nos pieds fatigués
son doux roulis nous hypnotise
la tête tourne et nous dansons
immobiles au fond de notre âge
la ronde enjouée de l’enfance
la valse d’une adolescence
qui cueille enfin les fruits trop mûrs
de toute une vie d’existence.
Le temps liseron malicieux
s’enroule aux jambes et grimpe encore
étouffe nos corps vieillissants
nous fait de ses fleurs hypocrites
une virginité factice.
Le tango du temps ralentit
l’orchestre essoufflé prend la pause
la houle peu à peu s’apaise
pour nous déposer au rivage
où viennent mourir les marées.
La houle sans hâte du temps
tangue sous nos pieds fatigués
son doux roulis nous hypnotise
la tête tourne et nous dansons
immobiles au fond de notre âge
la ronde enjouée de l’enfance
la valse d’une adolescence
qui cueille enfin les fruits trop mûrs
de toute une vie d’existence.
Le temps liseron malicieux
s’enroule aux jambes et grimpe encore
étouffe nos corps vieillissants
nous fait de ses fleurs hypocrites
une virginité factice.
Le tango du temps ralentit
l’orchestre essoufflé prend la pause
la houle peu à peu s’apaise
pour nous déposer au rivage
où viennent mourir les marées.
Dernière mise à jour le 3 semaines par André
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Et bien ici ce matin je ne sais si le carrée de serviettes était réservé mais pare-chocs contre pare-chocs, pour mi j’allais en courses, comme tous les jeudis…