Livres, ma forêt,
vous poussiez sur les murs,
nourrissant de fruits mûrs
mes moindres intérêts.
Livres de papier,
votre encre se fanait
mais vos mots revenaient
vivre sur l’oreiller.
Livres ensorcelés,
vous racontiez un monde,
me promeniez sur l’onde
de pages gondolées.
Livres empoussiérés,
vos légions d’acariens,
subreptices vauriens,
m’ont beaucoup fait pleurer.
Livres du temps jadis,
vos neveux d’aujourd’hui
illuminent la nuit
de leur écran complice.
Inestimables livres,
compagnons de toujours,
avec vous je savoure
un philtre qui m’enivre.
Livres, ma forêt,
vous poussiez sur les murs,
nourrissant de fruits mûrs
mes moindres intérêts.
Livres de papier,
votre encre se fanait
mais vos mots revenaient
vivre sur l’oreiller.
Livres ensorcelés,
vous racontiez un monde,
me promeniez sur l’onde
de pages gondolées.
Livres empoussiérés,
vos légions d’acariens,
subreptices vauriens,
m’ont beaucoup fait pleurer.
Livres du temps jadis,
vos neveux d’aujourd’hui
illuminent la nuit
de leur écran complice.
Inestimables livres,
compagnons de toujours,
avec vous je savoure
un philtre qui m’enivre.
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)