Sur le cheval furieux de phrases assassines
ou, sournoise, tapie parmi des mots de fiel
elle va par les rues, les maisons, les cuisines
planter épines et ronces, éteindre l’arc-en-ciel.
Le voisin, l’étranger, le parent renié,
l’indigent malhonnête ou le riche véreux,
nul n’échappe à la trique savamment maniée
des censeurs hypocrites au savon généreux.
La médisance a fait son nid dans l’âme humaine,
ses petits à peine éclos déjà s’égosillent :
leurs cris d’orfraie ni leur langage obscène
ne peuvent étouffer les mélodies gentilles.
Sur le cheval furieux de phrases assassines
ou, sournoise, tapie parmi des mots de fiel
elle va par les rues, les maisons, les cuisines
planter épines et ronces, éteindre l’arc-en-ciel.
Le voisin, l’étranger, le parent renié,
l’indigent malhonnête ou le riche véreux,
nul n’échappe à la trique savamment maniée
des censeurs hypocrites au savon généreux.
La médisance a fait son nid dans l’âme humaine,
ses petits à peine éclos déjà s’égosillent :
leurs cris d’orfraie ni leur langage obscène
ne peuvent étouffer les mélodies gentilles.
Dernière mise à jour le 11 mois par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)