Le ciel nous nargue et l’horizon
ne dément rien, juste nous cache
le vaste monde et ses prisons,
ses évasions et son panache.
Le monde aux trames d’herbe verte
où vont paître nos anciens rêves,
monde couvert de plaies ouvertes,
monde de cœurs battant sans trêve.
Le monde aux camaïeux de bleu
reflets de mer au firmament
que profanent aux matins frileux
des échos de bombardements.
Monde si vaste et minuscule
que nous avons rendu fragile,
monde qui crie et gesticule,
monde aliéné mon seul asile.
Le ciel nous nargue et l’horizon
ne dément rien, juste nous cache
le vaste monde et ses prisons,
ses évasions et son panache.
Le monde aux trames d’herbe verte
où vont paître nos anciens rêves,
monde couvert de plaies ouvertes,
monde de cœurs battant sans trêve.
Le monde aux camaïeux de bleu
reflets de mer au firmament
que profanent aux matins frileux
des échos de bombardements.
Monde si vaste et minuscule
que nous avons rendu fragile,
monde qui crie et gesticule,
monde aliéné mon seul asile.
Dernière mise à jour le 9 mois par André
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Oui nous vivons dans les contradiction même eu coin de notre rue…
Toutes les contradictions humaines dans ce poème.
Beau et triste.
Merci Poète !
•.¸¸.•*`*•.¸¸☆
Merci à toi pour ta lecture.