Enlaçant les saisons de notes, la musique
de Wolfgang, Antonio ou de Jean-Sébastien
donne au printemps des airs d’amours mélancoliques,
à l’hiver la douceur qui berce et qui soutient,
fait de l’été pluvieux une saison magique.
Il n’y a pas d’automne où quelque musicien
ne ponctue de son chant le spectacle or et rouge
de la mort qui parade et joue les magiciens,
faisant croire aux enfants que les grands arbres bougent.
La musique est une âme et lorsqu’elle se tait
un peu de nous retourne à l’état minéral,
sans elle nous errons comme si les futaies
de leurs grands bras feuillus masquaient notre fanal.
Enlaçant les saisons de notes, la musique
de Wolfgang, Antonio ou de Jean-Sébastien
donne au printemps des airs d’amours mélancoliques,
à l’hiver la douceur qui berce et qui soutient,
fait de l’été pluvieux une saison magique.
Il n’y a pas d’automne où quelque musicien
ne ponctue de son chant le spectacle or et rouge
de la mort qui parade et joue les magiciens,
faisant croire aux enfants que les grands arbres bougent.
La musique est une âme et lorsqu’elle se tait
un peu de nous retourne à l’état minéral,
sans elle nous errons comme si les futaies
de leurs grands bras feuillus masquaient notre fanal.
Dernière mise à jour le 8 mois par André
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
« Les Quatres Saisons »de Vivaldi accompagnerait bien ce joli poème
Bonne idée, Kim: je l’ajoute.
Merci pour ta lecture.