Escaliers du ciel les nuages
invitent à la montée
comme font la blancheur des pages
la lumière d’été
la splendeur des landes sauvages.
Mais à quoi bon là-haut les champs
ne sont que plaines engourdies
où l’on n’entend jamais le chant
d’aucun oiseau de paradis.
La terre qui est ce qu’elle est
vaut mieux que le mouvant mirage
que de leur incessant ballet
nous font miroiter les nuages.
Escaliers du ciel les nuages
invitent à la montée
comme font la blancheur des pages
la lumière d’été
la splendeur des landes sauvages.
Mais à quoi bon là-haut les champs
ne sont que plaines engourdies
où l’on n’entend jamais le chant
d’aucun oiseau de paradis.
La terre qui est ce qu’elle est
vaut mieux que le mouvant mirage
que de leur incessant ballet
nous font miroiter les nuages.
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