La Semois paressait de méandre en méandre
et la France à deux par paraissait exotique
le soleil sous l’abri savait se faire attendre
le souper chaque soir nous était romantique.
La forêt silencieuse aux murmures secrets
bienveillante accueillait nos pas en ses replis
le Tombeau du géant jetait un œil discret
sur nos coupe-vent jaunes où ruisselait la pluie.
Le roc fortifié du château de Godefroy
étendait sur Bouillon son ombre protectrice
où nous baguenaudions tandis que l’été froid
baignait le début de notre vie sans malice.
La Semois paressait de méandre en méandre
et la France à deux par paraissait exotique
le soleil sous l’abri savait se faire attendre
le souper chaque soir nous était romantique.
La forêt silencieuse aux murmures secrets
bienveillante accueillait nos pas en ses replis
le Tombeau du géant jetait un œil discret
sur nos coupe-vent jaunes où ruisselait la pluie.
Le roc fortifié du château de Godefroy
étendait sur Bouillon son ombre protectrice
où nous baguenaudions tandis que l’été froid
baignait le début de notre vie sans malice.
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Ah la forêt ardennaise. Avez-vous lu « un balcon en forêt » de Julien Gracq ?
Non. Je devrais ?