J’irai chercher le réconfort
au creux des combes
que la rêverie m’ouvre, au bord
de quelque tombe
où se fanent les souvenirs
d’un autre monde,
où les promesses d’avenir
toujours abondent.
Je rencontrerai la douceur
de vivre encore pour quelque temps
le lent balancement des heures
avant-coureur d’autres printemps.
Je tenterai dans un poème,
truchement d’un cœur maladroit,
de dire encore aux gens que j’aime
tout ce qu’ils ont été pour moi.
J’irai chercher le réconfort
au creux des combes
que la rêverie m’ouvre, au bord
de quelque tombe
où se fanent les souvenirs
d’un autre monde,
où les promesses d’avenir
toujours abondent.
Je rencontrerai la douceur
de vivre encore pour quelque temps
le lent balancement des heures
avant-coureur d’autres printemps.
Je tenterai dans un poème,
truchement d’un cœur maladroit,
de dire encore aux gens que j’aime
tout ce qu’ils ont été pour moi.
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Plus
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)
Quelle belle inspiration !
Et qu’en termes élégants, ces choses-là du cœur sont dites !