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Sur la crête.

L’ sur la crête a des airs de frontière
immuable et pourtant mobile au gré du vent
qui chante hurle ou geint murmure des prières
et tient la dragée haute aux savants.

Ces voyageurs venus des abysses insondables
observent les beautés et les noirceurs du monde
puis s’en vont bousculés par le souffle du diable
ou restent là pleurant sous l’ qui gronde.

L’horizon qui nous ceint sera-t-il notre digue
aux nuages savants pourrons-nous nous fier
quand ils déferleront et danseront la gigue
les loups qui déjà hurlent pensant nous terrifier ?

L’horizon sur la crête a des airs de frontière
immuable et pourtant mobile au gré du vent
qui chante hurle ou geint murmure des prières
et tient la dragée haute aux nuages savants.

Ces voyageurs venus des abysses insondables
observent les beautés et les noirceurs du monde
puis s’en vont bousculés par le souffle du diable
ou restent là pleurant sous l’orage qui gronde.

L’horizon qui nous ceint sera-t-il notre digue
aux nuages savants pourrons-nous nous fier
quand ils déferleront et danseront la gigue
les loups qui déjà hurlent pensant nous terrifier ?

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marie des vignes
marie des vignes
30 avril 2024 20:50

Bonsoir André il est assez angoissant ce poème, beau, infernal, en pensant à ces créatures qui sortent des abysses, des démons à n’en pas douter, serons nous protégés? Bonne soirée Amitiés MTH

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