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Toujours.

Toujours les mêmes souvent les mêmes
ne change que l’habit au des saisons
quotidienne amertume aux de l’hiver,
des étés qui voudraient faire entendre raison.

Le est si beau quand les oiseaux pépient
le fait si bien resplendir les couleurs
le doux bourdonnement des insectes qui vrillent
l’été ne peut masquer le et ses douleurs.

Quand l’hiver nous pince et fait rougir nos doigts
les squelettes des gesticulant au vent
de loin nous interpellent et nous montrent du doigt
le monde et ses douleurs, nu et sans paravent.

Toujours les mêmes vers, souvent les mêmes mots
pour dire maladroits la détresse et l’espoir
pour soulager un peu la tristesse et les maux
pour croire malgré tout dans la beauté du .

Toujours les mêmes mots souvent les mêmes vers
ne change que l’habit au hasard des saisons
quotidienne amertume aux brumes de l’hiver,
des étés qui voudraient faire entendre raison.

Le silence est si beau quand les oiseaux pépient
le soleil fait si bien resplendir les couleurs
le doux bourdonnement des insectes qui vrillent
l’été ne peut masquer le monde et ses douleurs.

Quand l’hiver gris nous pince et fait rougir nos doigts
les squelettes des arbres gesticulant au vent
de loin nous interpellent et nous montrent du doigt
le monde et ses douleurs, nu et sans paravent.

Toujours les mêmes vers, souvent les mêmes mots
pour dire maladroits la détresse et l’espoir
pour soulager un peu la tristesse et les maux
pour croire malgré tout dans la beauté du soir.

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