Trois coups discrets
dans la nuit noire.
Trois coups discrets,
couleur d’espoir.
Trois coups discrets,
la porte chuinte,
puis apparaît
le jour qui pointe.
La porte s’ouvre
sur un sourire
qu’un masque couvre
sans le dédire.
La douleur jamais ne résiste,
ni la solitude imposée,
aux trois coups masqués qui persistent
à sourire au traumatisé.
Trois coups discrets
dans la nuit noire.
Trois coups discrets,
couleur d’espoir.
Trois coups discrets,
la porte chuinte,
puis apparaît
le jour qui pointe.
La porte s’ouvre
sur un sourire
qu’un masque couvre
sans le dédire.
La douleur jamais ne résiste,
ni la solitude imposée,
aux trois coups masqués qui persistent
à sourire au traumatisé.
Dernière mise à jour le 12 mois par André
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Très émouvant !
J’étais effectivement ému en écrivant dans cette chambre d’hôpital. J’ai donné le manuscrit aux infirmières.
Je comprends mieux cette photo et ce poème !
Oui, dédié au personnel de l’hôpital.