Un jour la pluie a tout détruit
pourtant nous implorons le ciel
de gratifier nos champs nos fruits
d’une averse providentielle.
Ouranos ne nous entend plus
depuis longtemps retient ses larmes
et nous tant qu’il n’aura pas plu
saurons avoir rompu le charme.
Ciel nous t’avons tant méprisé
dévasté sous nos déjections
terre et tes œuvres vous gisez
sous le poids de trop d’abjections.
Désormais seuls sous les étoiles
nous attendons les yeux fermés
que se déchire enfin le voile
où la survie est enfermée.
Un jour la pluie a tout détruit
pourtant nous implorons le ciel
de gratifier nos champs nos fruits
d’une averse providentielle.
Ouranos ne nous entend plus
depuis longtemps retient ses larmes
et nous tant qu’il n’aura pas plu
saurons avoir rompu le charme.
Ciel nous t’avons tant méprisé
dévasté sous nos déjections
terre et tes œuvres vous gisez
sous le poids de trop d’abjections.
Désormais seuls sous les étoiles
nous attendons les yeux fermés
que se déchire enfin le voile
où la survie est enfermée.
Dernière mise à jour le 9 mois par André
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Nous implorons le ciel mais la traduction en déluge n’a rien de plaisant…
Beau poème bon Lundi amicalement MTH