Au son des valses, marches et polkas,
le temps qui fuit reprend son souffle,
retrouve un peu dans ces airs délicats
de vieux hivers qui s’emmitouflent
pour nous mener confiants loin des fracas
chausser nos anciennes pantoufles.
Le temps de trois airs désuets
nous voguons oublieux
des malheurs du monde et, muets,
nous nous sentons moins vieux.
Au son des valses, marches et polkas,
le temps qui fuit reprend son souffle,
retrouve un peu dans ces airs délicats
de vieux hivers qui s’emmitouflent
pour nous mener confiants loin des fracas
chausser nos anciennes pantoufles.
Le temps de trois airs désuets
nous voguons oublieux
des malheurs du monde et, muets,
nous nous sentons moins vieux.
Dernière mise à jour le 9 mois par André
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