L’air de rien les chansons volent …
Les vieux tilleuls dressés
regardent en bruissant
les écoliers pressés …
Fantômes en noir sur blanc, mots obsolètes …
Tessa, quand tu souris,
ce sont tes yeux qui brillent …
Vague immobile et turbulente tu creuses ton sillon …
Un faon, dans sa forêt,
insoucieux du danger,
gambadait sans arrêt …
Il est nomade et ne le sait qu’après …
Charlotte, tes dix ans,
j’aurais voulu pouvoir
les vivre au temps présent …
Il court il vole il perd son temps …
Trois coups discrets
dans la nuit noire …
Je sais qu’il viendra …
Sous le masque, un sourire,
bienveillant réconfort…
Ce qu’elle dit de moi …
Sept nains, dans mon jardin,
se disputaient.
De guerre lasse un jour la vie …
Compagne de soirs de pluie
et de matins givrés,
À l’aurore quand la nuit meurt …
Udendo qualche canzone,
mi viene la voglia
malinconica
di rivivere sere lontane
Le tas de pierres encore a l’air médiéval …
Des poèmes inspirés par mes humeurs et les remous du monde.