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Été.

qui fanent et d'or
les du pâlissent
promesses de encore
vagues et les araignées tissent
les condamnations à mort
d'insectes fous qui vrombissent.

L' paresseux s'endort
couve-t-il comme jadis
quelque mauvais coup du sort ?

Jours qui fanent et soleil d'or
les fleurs du printemps pâlissent
promesses de fruits encore
vagues et les araignées tissent
les condamnations à mort
d'insectes fous qui vrombissent.

L'été paresseux s'endort
couve-t-il comme jadis
quelque mauvais coup du sort ?

Dernière mise à jour le 4 mois par André

Posted in Poésie
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