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Vert.

Le grand épicéa en habit vert
monte la garde à l'orée des forêts
bienveillant il reçoit sous le couvert
les ébats bruyants de scouts toujours prêts.

Le vieux chêne veille sur la maison
sévère et dans sa robe de bure
mais quand enfin reviendront les saisons
un vert pâle adoucira sa ramure.

Dans ma un iguane un dragon
croisé jadis au détour d'un désert
me fait savoir de son clin d'œil bougon
que le passe aujourd'hui plus qu'hier.


Dernière mise à jour le 4 mois par André

Posted in Poésie
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