André.
Quand me mettrez en terre,
ou au bûcher,
Un sourire hésitant venu d’on ne sait où vient éclairer timide un visage fermé …
Des eaux dormantes autour de nous guettent leurs proies …
À quoi bon les mots …
Nous irons cueillir les myrtilles …
Un hymne doux et fort s’est levé ce matin …
… un joli nom qui lui va mal …
Immuable et changeant le jardin se réveille …
La pluie rêvée souvent n’est rien
qu’impressonisme passager …
Quand il fait soleil c’est dimanche
Rayon furtif au point du jour …
Si fragile est la certitude …
