Dans l’espoir du matin, la nuit s’étire …
Passant pressé que sais-tu
du monde ?
.
D’autres, depuis longtemps,
ont répété
Les chansons d’aujourd’hui ne me font plus rêver …
Images vous tentez de nous apprivoiser …
Quand au soir de l’année tu voudrais …
.
Depuis longtemps figés,
paysans rudes,
L’été nous a pris dans ses bras …
Ce soir il pleut dans les mémoires …
.
Quand me mettrez en terre,
ou au bûcher,
Un sourire hésitant venu d’on ne sait où vient éclairer timide un visage fermé …
Des eaux dormantes autour de nous guettent leurs proies …
Demain, quand les enfants rempliront la maison …
.
Ma vie, marée toujours montante.
À quoi bon les mots …
Nous irons cueillir les myrtilles …
Un hymne doux et fort s’est levé ce matin …
… un joli nom qui lui va mal …
.
Les lumières de maisons inconnues
Passe le chant des saisons, nous marchons notre chemin …