Les amarres larguées nous irons dans le vent …
Une chanson musant aux chemins tortueux …
Ils vont danser au bal masqué …
Une sérénité troublée par quelques cris …
Quand la vie s’en ira …
Entre les lignes, au cahier d’écolier …
Il flotte entre deux airs …
Nous irons par les chemins creux …
Notre inertie indigne entrera dans l’histoire.
L’encre bleue de nos noms …
Dans le regard, en filigrane, plane un lieu dont il ne reste rien …
Le sable fin qui s’écoule entre les doigts du sabliers …
Sous les mots du silence …
L’été, destination soleil!
C’est le ciel de juillet qui tomba sur leurs têtes. …
Depuis le temps, Tityre, que sous ton hêtre tu reposes …
De retour sur nos pas anciens …
Nous dormirons dans la verdure …
J’irai chercher le réconfort
au creux des combes …
Sous son tapis roussi l’herbe est-elle plus verte ?