Les mots au hasard volent …
On ne sait jamais quand sonnera le tocsin .
Dans les sables mouvants s’avance à bout de souffle un troupeau …
Un vent furieux secoue les foules …
Le goût du café noir …
La paix des après-midi paresseux sous les ombrages …
L’hiver qui nous étreint ne peut être éternel.
Fractale à l’infini …
Miel au cœur de l’hiver.
Me glisser en douceur dans un moelleux cocon …
Les fleurs de solitude aux pétales pâlis …
Demain l’éternité prend le bac pour Cythère …
Perdu dans le brouillard le monde aveugle et sourd …
Le temps a coulé sous le pont …
Cœur ouvert et perles d’amour …
Que sais-tu de l’immense espace ?
Depuis des siècles elle a tenté de capturer ce reflet …
Quand soudain la nuit tombe …
Les saisons abandonnent au vent l’impalpable aura de leurs pluies
Au plus profond du sommeil veille un vers …