Les amarres larguées nous irons dans le vent …
J’eus beau chercher les mots …
Le songeur parcourt les absences …
Pour cet enfant afghan, le rêve d’Angleterre était en train de se réaliser …
Ainsi chantait Adriano, lui qui ressemble tant à mon oncle Mimile …
Jonas au fond des mers passager du destin
Note à note, la musique …
Quitter sa torpeur …
Les villageois se reconstruisent …
Notre paisible village aux limites imprécises …
L’Europe était notre utopie …
J’ai dans la tête un rythme doux …
La vie rêvée des temps d’enfance,
étés de framboises …
Le ciel du soir déchire ses haillons …
ton jeu me fascine et m’endort …
Voyageur solitaire au creux de mon fauteuil …
De son coin de plafond l’araignée guette …
Jadis un rien poussifs ils allaient souffle court …
La haie d’honneur des éoliennes escorte le train …
Vivons sans attendre l’aurore …