Ne peut-on vraiment pas considérer les pauvres, malheureux, sans abri, réfugiés comme des personnes humaines ?
Écrire et se laisser guider …
On se tourne volontiers vers un passé rêvé, fantasmé, sublimé …
Toujours les mêmes mots …
sous la tonnelle accueillante
Par les sentiers ombreux musent les promeneurs …
tant de soleils minuscules nous font oublier l’hiver …
Il y a peu, je m’indignais …
Vannes s’ouvrant sur le déluge
… et puis la vie.
Ils reviendront comme reviennent en hiver les flocons …
la musique donne au printemps des airs d’amours mélancoliques
Pas un fil disait le dicton …
L’escarpolette
un jour s’envole,
le cœur s’emballe …
Il y a dans l’air frais comme un parfum de soleil …
Pour peu qu’un jour d’hiver …
Les nuages oisifs d’un coup d’aile ont glissé …
Le monde est un jardin d’hiver.
Le tic-tac lancinant …
Dans le vent mugissant passent les souvenirs d’ogres et de lutins …
Les inconnus d’hier aujourd’hui se saluent …