Ainsi passent les jours …
Les enchanteurs du quotidien …
La porte close d’un regard vide …
Devant l’inconnu qui rôde …
sous le parquet ciré vit toute une charpente …
Un jour nous ouvrira la connaissance aiguë de la beauté …
De vœux creux en désillusions …
Plus pâle qu’un soleil d’hiver, un sourire …
Aujourd’hui c’est en France qu’un pantin ridicule du fond de son théâtre aguiche les passants …
Guajira de poussière et de vent, peuplée d’esprits, propice aux songes,
Elle qui, de l’enfance, a gardé le regard clair …
Bruxelles. Une rue banale, une passante …
Le monde en son dernier matin regarde briller le soleil …
Un sourire, et la vie reprend quelque couleur …