Je me réveillerai un matin sur la terre …
Bruxelles. Une rue banale, une passante …
Pas après pas qu’il est long le chemin …
Il rechigne à sortir de l’œuf …
Belle inconnue aux traits de brume …
Le jour qui paresseux se lève tard …
Embarqué un soir de novembre …
La tête est bien dans les nuages …
Tant d’années, et soudain …
Le monde en son dernier matin regarde briller le soleil …
La rue a choisi la grisaille …
La campagne sourit sous le soleil d’automne …
Dans l’éther méphitique d’un été pourrissant …
Une rue banale, une passante. Puis un homme …
Notre maison fragile voit ses murs s’effriter …
Quand l’heure grise sonne au coucou fatigué …
Le train de nuit roule sa bosse …
Les cailloux du chemin nous racontent une histoire …
En revenant de rêve, un matin de tempête …
Le jour se lève et le bourg endormi …