Et pourtant la fenêtre ouverte sur la nuit …
Le long ennui des canicules …
Lorsque se tait le chant qu’un autre chant s’élève …
Paresseux l’été prend son temps …
L’Europe était notre utopie …
Les ogres en nos pays ont donc une famille …
Douce pluie d’été de nos souvenirs …
Quelques chaises patientes me tiennent compagnie …
Tout ce qui berce ouvre la voie
Jour familier venez prenez-moi par la main …
Le ciel du soir déchire ses haillons …
Les grains du jour s’écoulent au sablier …
… à l’encontre des réfugiées …
La marée du jour qui s’apaise …
Dans la nuit froide hurle le vent …nuit
Ciel de la chambre vide …
Avenir de l’Homme, la femme, bien sûr ! Mais en attendant …
Le monde serait-il peuplé de tant de petites lumières pour nous guider dans le brouillard ?
Les enchanteurs du quotidien …
Les magiciens du crépuscule …