Après la torpeur estivale la petite école s’éveille …
Arbres nous direz-vous les noms secrets des elfes ?
Toujours les mêmes mots …
T’ai-je un jour dit le vent ?
Les nuages s’alourdissent …
Moulins du monde aux meules rondes de quel grain faites-vous farine ?
Indomptable et fragile écorce de nos arbres …
Les iris nonchalants que berce un vent léger …
la musique donne au printemps des airs d’amours mélancoliques
Árboles de parque,
sentinelas cuidadosas …
Les rayons du soleil, fieffés menteurs …
Le ciel est une orange …
Depuis hier, rien n’a changé …
Le monde est un jardin d’hiver.
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La voix du vert,
les mots des fleurs,
Murs décrépits sur fond de brume, cernés par le vert sombre d’ifs …
La vitre en pointillé dessine un paysage …
Je me réveillerai un matin sur la terre …
Novembre au doux soleil frileux …
Lorsque les loups se font garous …