Des limbes de l’enfance un banc de brume …
Toujours les mêmes mots …
La nuit lentement meurt de froid …
.
L’encre, sous la plume,
tente
de peindre des brumes
Nous aurons attendu le plaisir éphémère de ce printemps …
Il va, s’en vient, il rôde …
L’automne pleurniche ou sourit couché sur un tapis de mousse.
Murs décrépits sur fond de brume, cernés par le vert sombre d’ifs …
Le gris glacé des brumes …
La carte chimérique des chemins de nos vies …
Le jour qui paresseux se lève tard …
Une photo, pas de mot.