Vieux murs moussus …
D’une voix qui se tait surgit le souvenir …
Fractale à l’infini …
… un œil noir qui me dévisage …
Le gazon du jardin bénéficie encore un peu de la chaleur …
Un beau jour à la mer, un ciel d’azur sous un soleil tout fier …
Chaque jour à l’encre factice
je laisse couler les mots bleus.
À cheval sur l’été dont nous rêvions la grâce nous partions …
Les motifs d’indignation et de crainte étendent chaque jour leur nappe nauséabonde.
Une photo, pas de mots …