Sont-ils donc si nombreux à ne rien écouter que le chant des sirènes ?
Guajira de poussière et de vent, peuplée d’esprits, propice aux songes,
Prolixe comme pie, la langue avant les dents …
Les trottoirs désertés n’ont rien d’autre à offrir que la désolation.
Flânant parmi les sépultures …
L’indifférence est lourde au cœur de son hôte et de son témoin.