Belle inconnue aux traits de brume …
La forêt ce soir-là te fut-elle accueillante ?
Le jour qui paresseux se lève tard …
Brique après brique …
Le vent la pluie en contrepoint …
La blancheur des pentes où glissaient les luges …
Les travées de l’église aux froids matins d’hiver …
Le ciel a pleuré sur Grenade …
Le froid grignote …
Les longs silences aux jours d’hiver …
ta mélopée souligne ta danse …
Premiers flocons odeur d’hiver …
Sur les champs désertés neigera-t-il encore ?
Hiver ou été, mieux vaut être riche et en bonne santé que pauvre et malade …
À cheval sur l’été dont nous rêvions la grâce nous partions …
La campagne sourit sous le soleil d’automne …
Dans un pays où on parle de priorités, on continue à bafouer sans vergogne les droits les plus élémentaires des plus faibles …
Il se sent à l’étroit mon pays de frontières …
Ne peut-on vraiment pas considérer les pauvres, malheureux, sans abri, réfugiés comme des personnes humaines ?
Écrire et se laisser guider …