À cheval sur l’été dont nous rêvions la grâce nous partions …
Alors ils sont venus …
En revenant de rêve, un matin de tempête …
Après la torpeur estivale la petite école s’éveille …
Roulis de rengaines anciennes …
Quitter sa torpeur …
Au fond de ma tête une contrebasse remplit l’air de contre-temps
Au seuil du jour, le sommeil
se fait léger …
Voyager loin, présentement,
c’est aller au bout du jardin
.
Je veux des trains.
Des eaux dormantes autour de nous guettent leurs proies …
Quelques notes et des mots …
Il rechigne à sortir de l’œuf …
Le monde en son dernier matin regarde briller le soleil …