Le silence épais des pierres
des églises fait écho …
Brocéliande intérieure, fantasmée et secrète …
En revenant de rêve, un matin de tempête …
Le songeur parcourt les absences …
Sept nains, dans mon jardin,
se disputaient.
Sur l’océan des songes aux chatoiements nacrés j’ai largué les amarres …
Antoine Pol écrit un poème,
Georges Brassens le met en musique,
Francis Cabrel l’interprète,