Nous n’avions demandé ni le vent ni l’orage,
nous rêvions de saisons aux rythmes inchangés,
d’éternité radieuse et nous voici en cage
pensant nous protéger d’un présent ravagé.
Qu’avons-nous fait, saisons, pour mériter votre ire ?
Nous étions pourtant faits pour asservir le monde :
nos prophètes maudits n’ont cessé de le dire,
mais l’esclave est rétif et la révolte gronde.
Sommes-nous à la fin d’un monde qui vacille
puni d’avoir voulu tout bâtir sur le sable
ou tout cela n’est-il qu’une péripétie
dans la marche en avant d’un monde impérissable ?
Nous n’avions demandé ni le vent ni l’orage,
nous rêvions de saisons aux rythmes inchangés,
d’éternité radieuse et nous voici en cage
pensant nous protéger d’un présent ravagé.
Qu’avons-nous fait, saisons, pour mériter votre ire ?
Nous étions pourtant faits pour asservir le monde :
nos prophètes maudits n’ont cessé de le dire,
mais l’esclave est rétif et la révolte gronde.
Sommes-nous à la fin d’un monde qui vacille
puni d’avoir voulu tout bâtir sur le sable
ou tout cela n’est-il qu’une péripétie
dans la marche en avant d’un monde impérissable ?
Dernière mise à jour le 11 mois par André
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