Le grand aimant marin …
Les trous dans la tartine sont les pores d’où sourd la gelée d’églantine
Rumeur de la ville …
Assis l’âme en paix au bord du sommeil
Les amarres larguées nous irons dans le vent …
Elle mirait dans les flaques son reflet trouble …
La paix comme un besoin …
Une chanson musant aux chemins tortueux …
Que savons-nous du vent ?
Ils vont danser au bal masqué …
Une sérénité troublée par quelques cris …
Quand la vie s’en ira …
Été de feux sauvages …
Pour avoir été témoins de ces mains calleuses …
Elle vivote l’araignée sous mon plafond vermoulu …
Écrire et se laisser guider …
Il flotte entre deux airs …
Je suis d’un monde vaste et sans cesse changeant …
Nous irons par les chemins creux …
Notre inertie indigne entrera dans l’histoire.