Sous son tapis roussi l’herbe est-elle plus verte ?
J’irai chercher le réconfort
au creux des combes …
Chaque jour quelques vers …
Et pourtant la fenêtre ouverte sur la nuit …
Mon nouveau recueil de poèmes …
La terre étouffe, elle agonise …
Voyageurs damnés naufragés errants …
Un jour viendra …
Le long ennui des canicules …
Le ciel s’est ouvert …
Arbres nous direz-vous les noms secrets des elfes ?
J’aurais voulu d’un ton léger dire la douceur de l’été …
Sentier sinueux aux horizons incertains …
Saisons fragiles vous glissez …
Dans leurs yeux toujours un reflet …
La houle sans hâte du temps …
une inextinguible soif de douleur et de sang …
Note à note, la musique …
Combien de fois suis-je donc né se demande le monde …
Les longs chemins de croix qu’enfants nous parcourions …