Heures du soir où le grand chêne
somnole, enroulé dans son ombre,
où les Korrigans se déchaînent,
où toute certitude sombre.
Heures du soir et de magie
où dans les taillis frissonnants
tout un monde se réfugie
pour psalmodier en ricanant.
Heures du soir où les mots mêmes
quittent leurs oripeaux du jour,
où le plus banal des phonèmes
déploie des ailes de vautour.
Ombres du soir, que je vous aime !
enfin libéré de son corps
l’esprit peut glaner des poèmes,
vagabonder, perdre le Nord.
Heures du soir où le grand chêne
somnole, enroulé dans son ombre,
où les Korrigans se déchaînent,
où toute certitude sombre.
Heures du soir et de magie
où dans les taillis frissonnants
tout un monde se réfugie
pour psalmodier en ricanant.
Heures du soir où les mots mêmes
quittent leurs oripeaux du jour,
où le plus banal des phonèmes
déploie des ailes de vautour.
Ombres du soir, que je vous aime !
enfin libéré de son corps
l’esprit peut glaner des poèmes,
vagabonder, perdre le Nord.
Dernière mise à jour le 11 mois par André
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Très joliment dit !
Merci !