Je marche dans le noir …
Il était bien trop grand …
Rouge le fer sur l’enclume …
Blancheur cruelle tu aveugles et tu rends sourd …
Quelques pas, sur la terre, laisseront une empreinte fugace …
L’infini du ciel …
Naître suffira-t-il, humain fragile, pour exister ?
Quand Vivaldi ranime un printemps numérique …
Un petit vieux modeste attend sans faire un geste …
Le grand épicéa en habit vert …
Le gris glacé des brumes …
Notre vie est un long fleuve aux méandres capricieux …
Étoile dans la nuit …
Más o menos lejos de mi ventana …
Le monde a perdu la raison …
Luisant sous les étoiles, le char d’or des chimères …
Promesse de printemps …
La solitude du flocon …
Ballerine, tes six ans nagent sur un lac, avec les cygnes …
Quand l’hiver tout-à-coup revient …