Le long ennui des canicules …
Le ciel s’est ouvert …
Arbres nous direz-vous les noms secrets des elfes ?
Nature impitoyable,
voudrais-tu nous apprendre
à être raisonnables …
Lorsque se tait le chant qu’un autre chant s’élève …
J’aurais voulu d’un ton léger dire la douceur de l’été …
Dans leurs yeux toujours un reflet …
La vie en larmes douces a plu sur nos printemps …
Quand l’été gris ruisselle dans les jardins …
La houle sans hâte du temps …
Jonas au fond des mers passager du destin
Un an de souvenirs puissants …
Paresseux l’été prend son temps …
une inextinguible soif de douleur et de sang …
Note à note, la musique …
Combien de fois suis-je donc né se demande le monde …
Les longs chemins de croix qu’enfants nous parcourions …
Partis de si loin …
impitoyable, la rumeur sape la réflexion …
Jours qui fanent et soleil d’or …