Au bois dormant l’on se repose …
L’humanité vacille sans ligne directrice.
Un jour nous viendra l’impuissance …
La table était dressée l’apéritif servi …
Le timide qui n’ose et le hâbleur prolixe …
Les mots au hasard volent …
On ne sait jamais quand sonnera le tocsin .
Dans les sables mouvants s’avance à bout de souffle un troupeau …
Un vent furieux secoue les foules …
Le goût du café noir …
La paix des après-midi paresseux sous les ombrages …
L’hiver qui nous étreint ne peut être éternel.
Fractale à l’infini …
Miel au cœur de l’hiver.
Me glisser en douceur dans un moelleux cocon …
Les fleurs de solitude aux pétales pâlis …
Demain l’éternité prend le bac pour Cythère …
Perdu dans le brouillard le monde aveugle et sourd …
Le temps a coulé sous le pont …
Cœur ouvert et perles d’amour …