Le soir pleure en silence …
Elle qui, de l’enfance, a gardé le regard clair …
La vitre en pointillé dessine un paysage …
Les temps sont lourds et nos épaules ploient sous le faix …
Chacun va ramant …
Automne et pluie,
quand le silence un peu rugueux, …
Herbes folles au jardin l’hiver vous a surprises …
Quelques notes et des mots …
Les fantômes de ceux dont il ne reste rien …
Cuando paso por tu puerta,
la tarde que viene a herir
con su hermosura desierta
Le miroir du vent est sans tain …
La carte chimérique des chemins de nos vies …
Je me réveillerai un matin sur la terre …
Moi si j’étais chanteuse …
Pas après pas qu’il est long le chemin …
Quelle abeille moribonde a piqué tous ces gens ?
Libérés les pieds volent …
La main crispée sur le crayon
cherche sa voie,
trace lentement son sillon
J’ai beau courir le temps me suit
Dans la classe aux odeurs fanées …