Le jour se lève et le bourg endormi …
Au soir d’une journée torride …
Le vrai bonheur c’était hier …
Les yeux indifférents du poisson sur l’étal …
Un éclair bleu nous tire l’œil …
Chemins creux à l’odeur de bouse qu’exalte la moiteur de l’air …
D’une pédale vigoureuse ils partaient …
Ils ne se parlaient pas, se connaissaient à peine …
Mains crispées sur les cartes …
Le grand aimant marin …
Les trous dans la tartine sont les pores d’où sourd la gelée d’églantine
Rumeur de la ville …
Assis l’âme en paix au bord du sommeil
Les amarres larguées nous irons dans le vent …
Elle mirait dans les flaques son reflet trouble …
La paix comme un besoin …
Une chanson musant aux chemins tortueux …
Que savons-nous du vent ?
Ils vont danser au bal masqué …
Une sérénité troublée par quelques cris …