Loin de l’abri de nos maisons
la fureur du monde étouffée
noie ce qu’il reste de raison
dans des campagnes ébouriffées.
Les siècles qu’ont vécu les chênes
ni les instants du papillon
n’ont de pouvoir quand se déchaîne
l’effroi qui creuse son sillon.
Ils sèment le vent, la tempête
les humains ivres de pouvoir
font de nos douleurs une fête
récolteront le désespoir.
Bien à l’abri dans nos maisons
nous laissons à d’autres le soin
d’ourdir le chaos des saisons
de subvenir à nos besoins.
Loin de l’abri de nos maisons
la fureur du monde étouffée
noie ce qu’il reste de raison
dans des campagnes ébouriffées.
Les siècles qu’ont vécu les chênes
ni les instants du papillon
n’ont de pouvoir quand se déchaîne
l’effroi qui creuse son sillon.
Ils sèment le vent, la tempête
les humains ivres de pouvoir
font de nos douleurs une fête
récolteront le désespoir.
Bien à l’abri dans nos maisons
nous laissons à d’autres le soin
d’ourdir le chaos des saisons
de subvenir à nos besoins.
Dernière mise à jour le 1 mois par André
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