Qu’un oiseau chante et son refrain
dilue de bleu le gris du ciel
le givre n’est plus que l’écrin
d’une aurore confidentielle.
Que monte on ne sait de quel val
secret que l’on devine clair
un babil qui fuit vers l’aval
et la vie se fait moins précaire.
Le chant du monde a des accents
doux au cœur de qui les accueille
le chœur des humains jacassants
couvre le bruissement des feuilles.
Chant.
Qu’un oiseau chante et son refrain
dilue de bleu le gris du ciel
le givre n’est plus que l’écrin
d’une aurore confidentielle.
Que monte on ne sait de quel val
secret que l’on devine clair
un babil qui fuit vers l’aval
et la vie se fait moins précaire.
Le chant du monde a des accents
doux au cœur de qui les accueille
le chœur des humains jacassants
couvre le bruissement des feuilles.
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