Au garde-à-vous, en livrée verte,
deux grands tilleuls montent la garde;
entre eux la chapelle déserte
attend le pèlerin qui tarde.
Du fond de cette niche inerte
un Saint Roch en bois me regarde :
la peste qui nous déconcerte
se rit bien de sa sauvegarde.
Le vent se lève, la nue menace,
je reprends mon vagabondage,
abandonnant de guerre lasse
le saint enfermé dans sa cage.
Au garde-à-vous, en livrée verte,
deux grands tilleuls montent la garde;
entre eux la chapelle déserte
attend le pèlerin qui tarde.
Du fond de cette niche inerte
un Saint Roch en bois me regarde :
la peste qui nous déconcerte
se rit bien de sa sauvegarde.
Le vent se lève, la nue menace,
je reprends mon vagabondage,
abandonnait de guerre lasse
le saint enfermé dans sa cage.
Dernière mise à jour le 1 mois par André
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J’aurais aimé, une chose, savoir :
La photo (en général) inspire-t-elle la poésie,
Ou n’est-elle que le support des mots viennent spontanément
Et pleurent leur encre sur le papier ?
Dans le cas présent, le texte a été écrit sur site, devant la chapelle, et la photo est donc une illustration. Mais il n’y a pas de règle, en poésie tout est possible.
Pour l’anecdote, c’était hier, chapelle St-Roch à Kettenis
D’autre part, il n’y a pas de papier j’écris sur une tablette